À l’occasion du Téléthon, les pompiers de Dourdan ont organisé un événement alliant solidarité, sensations fortes et valorisation du patrimoine. Pendant deux jours, le donjon du château a accueilli deux tyroliennes et des descentes en rappel le long des murs. Ces animations, ouvertes à tous, ont permis de sensibiliser le public à la cause du Téléthon dans un cadre ludique et historique. L’événement a connu un vif succès grâce à l’engagement des bénévoles et à la participation enthousiaste du public.
Pour le bonheur des yeux, Josselin qui était sur place le 2ème jour a concocté cette vidéo :
Keltia nous avait organisé une sortie d’initiation, repas et boissons compris, au viaduc des Fauvettes. Cette belle journée fut l’occasion de se retrouver entre plusieurs membres du club (Annabel, Keltia, Isabelle, Josselin et Philippe), de permettre à Albin de repratiquer et d’initier Alma aux techniques de déplacement sur corde sous l’œil bienveillant des plus expérimentés. Quelques moments forts de la journée en vidéo :
En bref, Alma est motivée pour passer le cap de l’initiation en cavité. Il ne reste plus qu’à programmer un petit week-end très prochainement !
Participants SCOF : Annabel, Keltia, Isabelle, Josselin & Philippe Participants externes : Albin & Alma Rédacteur/trice(s) : Josselin
Après avoir lavé les cordes de la dernière sortie chez Bruno, Annabel et Bruno sont allés au viaduc pour un entraînement sur vire. En effet, des membres du CDSC 91 avaient équipé l’intégralité de la partie latérale du viaduc pour des exercices sportifs, répartis en deux sections : A et B. La section A étant la plus accessible, ils ont commencé par celle-ci.
Après 4 heures à franchir plusieurs vires, dont une vire au plafond – franchie non sans effort par Annabel – nous avions à peine atteint la moitié de la section A. Autant dire que le niveau de difficulté était élevé. La rencontre de cordistes et de pompiers nous l’a confirmé.
Annabel et Bruno ont décidé d’arrêter à 16 h et, fourbus par cette expérience, ils sont rentrés directement.
Participants SCOF : Annabel et Bruno Participation : 4 h Rédacteur/trice(s) : Annabel
Les travaux ont eu lieu à deux endroits : Laurence et Josselin ont poursuivi la topographie du réseau supérieur avec Louis, pendant que l’autre équipe avançait sur l’élargissement et la descente à l’entrée de l’étroiture. L’argile, très collante et lourde, rend la remontée des sacs au palan difficile. Le volume de déblais stocké au bas des Obstinés devient conséquent.
En creusant, nous avons rencontré des silex et des fragments de plancher de calcite, à l’extérieur puis à l’intérieur de l’étroiture. Celle-ci est courte (1,50 m) et étroite (environ 30 cm), ce qui complique le travail dans un espace exigu. En fin de journée, Guillaume a pu passer la tête dans un élargissement et observer un amas de sable graveleux touchant presque le plafond, avec deux petits conduits non franchissables.
L’élargissement du passage est envisagé, malgré la difficulté, pour permettre la suite de l’exploration.
Participants SCOF : Josselin, Yves Participant externe : Pierre, Laurence, Paul Alexandre, Raphael, Louis, Guillaume, Paul TSPT : 10h30-17h30 = 7h Rédacteur : Pierre
Les Scofiens doivent arriver en début d’après-midi. Vicki a commencé à vider sa boîte mail petit à petit (153 messages en une semaine) et attaque la relecture d’un article scientifique reçu pendant sa première semaine de vacances. Paul a un rendez-vous à Gramat, ce qui lui laisse du temps pour travailler tranquillement. Une fois l’article envoyé, elle aide au jardinage — désherbage des framboisiers. Ah, les petits plaisirs des tâches domestiques.
Finalement, les Scofiens arrivent vers 16h30 après avoir fait les courses. On décide d’aller visiter Gibert 1 (un P24 qui donne sur le cône d’une doline d’effondrement), situé juste à côté (à 15 minutes). Il faut demander la permission de descendre à la dernière maison sur le chemin, en face du champ où se trouve la doline, dans un petit bosquet. L’ouverture est large et très belle, décorée d’une végétation luxuriante, de lianes qui pendent, etc.
L’entrée de Gibert 1 avec son décor de lianes.
Vue d’en bas du puit
Annabel équipe sous l’œil vigilant de Bruno. Pendant ce temps, Vicki installe une corde dans un grand chêne à proximité et fait faire des révisions de montée-descente à Kit. Dès que la verticale est en place, Kit descend sans trop flipper, sous la surveillance de Vicki. Tout le monde se retrouve au fond, sur le cône de l’effondrement, vers 19h30. On décide de simplement mettre les lampes à fond pour éclairer le tour de la salle, sans explorer davantage, car Paul nous attend avec un dîner d’accueil. Annabel déséquipe dans la foulée.
Annabel en plein travail de déséquipement !
De retour chez Paul, un dîner de roi nous attend : apéro avec whisky single malt écossais, salade d’endives, noix et gruyère, canard confit (encore un, mais cette fois-ci au four, accompagné de haricots verts et de pommes de terre rôties). En dessert, la fameuse tarte au vin du Quercy — un vrai régal — qu’on peut commander à la pâtisserie de la grande place de Gramat.
De gauche à droite : Annabel, Bruno, Paul, Vicki et Kit
Participants SCOFS : Annabel, Bruno, Kit et Paul Participants externe : Vicki TSPT : 3 h Rédactrice : Vicki
La Meuse offre de nombreuses opportunités d’activités dans les carrières, le temps d’un week-end, comme vous allez le découvrir.
Nuit d’arrivée (21/02/2025)
Le soleil s’était couché après avoir parcouru 200 km en ligne droite, et le premier convoi fit son apparition à la Maison Lorraine de la Spéléologie (MLS). Après avoir déposé le matériel de spéléologie, le quatuor, composé d’Audrey, Isabelle, Josselin et Nicolas, se motiva pour préparer l’arrivée du second convoi de deux voitures en préparant le repas du soir.
Virée dans la carrière de Savonnières-en-Perthois (22/02/2025)
Dès leur arrivée à 10 h, Audrey, Josselin et Nicolas se mirent en action pour profiter pleinement de leur sortie de spéléologie. Dans le réseau de l’Avenir, Audrey et Josselin alternèrent les rôles d’équipeur et de déséquipeur, gérant l’équipement avec efficacité, tandis que Nicolas, armé de sa caméra, immortalisait chaque instant magique.
Après une remontée vers 14 h, nous retrouvâmes le reste du groupe qui, ayant déjà mangé en raison de notre retard d’une heure, nous attendait avec une bonne salade froide. Repus, nous avons ensuite repris notre exploration en direction de la carrière. Les trois spéléologues amateurs rejoignirent le groupe au réseau de la Sonnette, avant de se diriger vers l’entrée 2 pour amorcer la descente par le puits de 20 m. Seuls Audrey et Josselin s’aventurèrent plus loin pour visiter la salle du chaos. Josselin était à l’équipement, et Audrey déséquipa. Le temps passant, et afin de ne pas rater la fête d’anniversaire improvisée pour Isabelle, tous trois retournèrent à la voiture où une récompense les attendait pour leurs efforts.
Coté randonneurs, la ballade fut longue avec des observations de quelques spécimens de chauve-souris. Killian trouva une opportunité de naviguer sur une embarcation de fortune.
La soirée fut royale. Après un bon apéritif, Bruno (pas le nôtre) nous avait préparé une rougaille saucisse. La soirée s’acheva par un moment dansant avec les plus courageux.
Visite guidée dans la carrière de Rinval (23/02/2025)
Le matin fut dédier au ménage et au lavage du matériel utilisé la veille.
Philippe eut l’excellente idée de contacter l’association Les Amis de la Pierre. Trois bénévoles passionnés nous permirent ainsi de découvrir la carrière de Rinval dans l’après-midi. A tour de rôle, ils nous expliquèrent les activités passées qui s’étaient déroulées, notamment l’extraction de la pierre, la culture du champignon, ainsi que l’évolution du matériel et des méthodologies pour améliorer les rendements de production. Leurs récits captivants, enrichis par leur expérience personnelle, ravirent le public.
A tous ceux qui lisent ces quelques lignes, n’hésitez pas à aller à leur rencontre !
Retour en Ile-de-France vers 21h.
Participants SCOF : Audrey, Isabelle, Josselin, Keltia, Nicolas, Philippe Externes : Alexandra, Bruno, Céline, Franck, Killian, Nicolas TPST : 14 h
1er février 2025 : départ à 6h/7h d’Etiolles (91) arrivée à 17h environ à Rousset en Vercors. Après déchargement du matériel et répartition sur les Poulka, nous avons marché environ 2 km pour poser un premier bivouac dans la neige.
2 février 2025 : démontage du bivouac et reprise de la marche en raquettes en tirant les Poulka vers le pied du Grand Veymont. Installation du bivouac à proximité de la source Les SERRONS. La source n’était pas glacée. Le lieu était magnifique, à l’abri du vent au milieu d’une clairière entourée de sapins.
3 février 2025 : montée vers le sommet du petit Veymont par le Pas des Châtons et retour vers le lieu de bivouac. Première marche fatigante, mais la vue au sommet valait largement d’effort de la montée.
Les huit intrépides !
4 février 2025 : Préparation du matériel spécifique (crampons-piolets) pour l’ascension du Grand Veymont (2340 m) et retour vers le lieu de bivouac.
Vue magnifique sur la vallée et les nuages !
Le retour a été ralenti par le passage de nombreux bouquetins lors de la descente. La montée a été exténuante, mais là aussi la vue sur toute la vallée était à couper le souffle. La rencontre avec les bouquetins a été amusante et surprenante.
Bouquetin curieux sur fond bleu
5 février 2025 : rando par la source de la Jasse puis retour bivouac. La marche n’était pas difficile mais longue. Bonne récupération de la veille.
6 février 2025 : rando par le Pas des Châtons et la Cabane des Aiguillettes jusqu’au Rocher de Chamoux et retour au bivouac. Petite rando sportive. Sympa de pouvoir voir le Mont Aiguille qui est bien surprenant.
Que c’est beau !
7 février 2025 : rangement du matériel, répartition sur les Poulka et descente jusqu’au véhicule pour le retour Ile de France. Le midi nous avons déjeuner près de la maison forestière de Pré Grandu avant de prendre le départ en Minibus. Arrivée à Etiolles à 23h.
Point de vue de Vincent T. sur son premier Camp Vercors Points positifs : J’ai découvert la neige que je ne connaissais pas. Belle expérience avec une météo fantastique. Le groupe était super sympa, bonne ambiance. Les repas étaient très bons et copieux. Le matériel qui m’a été prêté a été adapté. Très bonne ambiance de groupe, très convivial. Points négatifs : Personnellement je n’étais pas suffisamment préparé pour les efforts qui ont été à fournir ; j’ai un peu souffert physiquement. Mon matériel de camping était à sa limité d’efficacité (pas trop prévu pour le grand froid). Conclusion : J’ai fait une très belle expérience et j’espère pouvoir recommencer en 2026 avec un plus de préparation physique et un matériel plus adapté.
Participants : Bruno L. (SCOF), Éric, Geoffrey, Guy, Karim, Philippe (hors SCCM), Vincent T., Xavier M.
Ce début d’année ne se prête décidément pas à l’entraînement. Les bulletins météo sont unanimes : températures négatives, averses incessantes… Les messages WhatsApp fusent, chacun hésitant à braver les éléments. Pourtant, contre toute attente, Bruno et Josselin décident de tenter leur chance. En début d’après-midi, Nicolas et Audrey les rejoignent. Ensemble, ils enchaînent différents exercices sur corde : passage de vire, franchissement de fractionnement, conversions, passage de nœuds, et bien d’autres encore. En fin de journée, la pluie annoncée commence à faire son apparition.
Participants SCOF : Audrey, Bruno, Josselin et Nicolas
Ce camp s’est déroulé du 26.12. 2021 au 02.01.2022 dans le Gard pour explorer la région de la Cèze autour de Méjannes-le-Clap.
La joyeuse équipe était hébergée dans le super gîte du Mas de Playsse à Saint Ambroix!
Cavités visitées en tout ou en partie pendant le camp :
L’Aven des Oublis, l’Aven de Serre des Brus, l’Aven de l’EPMM, l’Aven de Pèbres, l’Aven Grégoire, l’Aven Armedia, l’Aven du Loir, les résurgences de Peyrejal et de Côtepatière-Cocalière et les Banquières pour un total de 10 cavités.
Participants : Magali, Béatrice (C/R), Yves dit Senior, Pascal, Nicolas TPST : 7h A l’initiative de Magali, c’est à 9h que nous nous retrouvons au parking de l’hôpital de Draguignan, direction les gorges de Châteaudouble. Nous faisons nos sacs et entamons la marche d’approche. Nous traversons une 1ere fois la Nartuby, puis son affluent : la Nartuby d’Ampus. L’eau est très claire en cette fin d’été. Petite montée et nous arrivons au trou 20 minutes après. Nous nous équipons : néoprène légère, sous combi, combi, baudrier et quelques 😉 vêtements de plus pour les frileux ou frileuses ? Nous équipons l’entrée, un P6 puis un fractio assorti de 2 dév et nous voilà au milieu d’un sacré courant d’air. Nous cheminons dans la galerie, un petit rappel et nous arrivons au siphon. Les bouées sont les bienvenues et c’est parti : 1er siphon : environ 25m et un 2eme de 30 m dans une eau à 8°. Arrivés sur la berge, l’eau est omniprésente, une grande cascade et les roches suintent. Nous ferons 3 remontées sur corde pour atteindre la galerie supérieure dans laquelle nous devons nous baisser pour cheminer. Nous atteignons une énorme galerie où coule la rivière. Petite pause pique nique pour tout le monde et nous continuons notre cheminement en suivant le cours d’eau cristallin. La rivière a creusé ici de nombreuses vasques de toutes les formes, sculptée la roche. Certaines parois ressemblent à des lames très aiguisées et à des troncs d’arbres coupés au centre laissant apparaître des cernes annuels. Au fur et à mesure de la progression, le plafond s’abaisse et nous nous contorsionnons quelque peu pour trouver le passage adéquat dans ce boyau. Séance photos et observation de la roche puis notre progression nous amène dans la galerie fossile. Arrêt sur un banc de sable propice à un prochain bivouac ? Nicolas ira jeter un œil un peu plus loin ou 2 galeries se rejoignent. Nous décidons de faire demi-tour et d’entamer le retour. Jugeant ne pas être assez mouillée, Béatrice tombe dans une grosse vasque qui finit vraiment de la rafraîchir…La chaleur de l’extérieur nous ravit.
Très belle cavité Varoise aquatique qui mérite le détour