DESOB CAUMONT LE 25.02.2023

En route pour la salle du Bateau!

Arrivée à Caumont à quatre (Bruno, Emmanuele, Josselin et Yves) avec le Rifter vers 10h30, le soleil pointe le bout de son nez nous faisant croire qu’il fait parfois beau en Normandie. Nous entendons l’appel de Mélusine, et il devient plus prononcé à l’approche de la carrière. Les normands étaient déjà envoutés, pelles et pioches à la main pour libérer Mélusine. Trois équipes se forment rapidement. La première excave l’argile mélangée à la calcite et/ou au silex. La seconde tire les bidons remplis, et les charges sur le chariot motorisé pour finalement les relayer à la troisième qui les évacuent du réseau par brouette. Le travail était tellement dense que Josselin n’a que peu tiré le portrait des travailleurs. La montre de Bruno, version “patron”, sonne à plusieurs reprises vers 12h. Difficile pour lui de continuer ventre vide, à croire que la douce voix de Mélusine ne le sustente pas suffisamment. C’est possible cela ?! A force d’amples négociations, nous sommes allés casser la croûte à l’extérieur. Les nuages gorgés d’eau nous ont pris par surprise nous obligeant à nous abriter comme Néand sous un rocher. Bruno a préféré se mettre sous son poncho pour se faire passer pour un SGF (pour ceux qui ne le savent pas un “Sans Grotte Fixe”). A sa vue, des jeunes n’ont pas osé descendre du parking pour aller à la carrière. Après la pause déjeuné, les opérations minières reprennent de plus belles jusqu’à environ 16h. Pierre et Noël sont restés encore un peu. Après un rapide saut sur les grandes carrières, il fallait déjà reprendre la route direction l’Ile-de-France. En conclusion, une super journée de désobstrution.

le train-train
On a retrouvé le réfugié climatique SGF

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