VIRUS ET CHAUVES-SOURIS A L’EPOQUE DU CORONAVIRUS

Au secours!

Les notions de virus, de zoonose, d’épidémie, etc. sonnent comme de terribles menaces et nous incitent à trouver les « responsables » : le pathogène, le réservoir et l’hôte intermédiaire (ou le vecteur).
Depuis quelques années et encore très récemment (!) nous entendons parler des chauves-souris comme de véritables « réservoirs à virus », voire des « bombes à retardement », à l’origine de la plupart des nouvelles épidémies. Mais est-ce aussi simple ?
Cette approche très « causale » ne semble pas suffire à appréhender la complexité des interactions au sein du vivant.
Pour essayer de comprendre comment tout cela est enchevêtré, il nous faut répondre à quelques questions : quelle « grille de lecture » appliquons nous sur le vivant ? Qu’ont les chauve-souris de si extraordinaire ? Quelles relations les virus entretiennent-ils avec elles ? Plus généralement, quelle est la place des virus dans l’évolution du vivant et la régulation de la biosphère ?

–> La discussion pourra porter sur les relations entre humains et non humains (i.e. pour nous les spéléologues avec les chauves-souris ou autres), sur les impacts environnementaux de l’espèce humaine et sur son influence dans l’apparition de nouvelles maladies.

Voir le diaporama passionnant de Fabien DARNE présenté et commenté sur internet le 25 avril , suivi d’une discussion, en cliquant ICI

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